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REGLEMENTAIRE COMMUNAUTAIRE ET NATIONAL
BASES DE DONNEES ET DE CONNAISSANCES
ENVIRONEMENT DES AFFAIRES

titre: Journée mondiale des droits des consommateurs 2024 : le Ministre Souleymane Diarrassouba fait la déclaration du Gouvernement sur l’intérêt de l’intelligence artificielle pour le consommateur
texte: Le Ministre du Commerce et de l’Industrie a fait la déclaration du Gouvernement à l’occasion de la 41ième édition de la Journée mondiale des droits des consommateurs qui se déroule autour de la thématique : ‘’L’intelligence artificielle équitable et responsable pour le consommateur’’. A cette occasion, Dr. Souleymane Diarrassouba a rappelé l’importance de l’Intelligence Artificielle (IA) dans les usages quotidiens et a précisé qu’elle est une composante essentielle de la 5ième révolution industrielle ou Industrie 5.0. En effet, a-t-il ajouté, l’Intelligence Artificielle est aujourd’hui un pilier essentiel de la société moderne, car elle influence divers aspects de la vie au quotidien. « En Côte d’Ivoire, le Gouvernement reconnait la nécessité d’intégrer l’Intelligence Artificielle dans les habitudes des populations ivoiriennes. Cette intégration tient compte de l’équité pour résorber les disparités (…) », a déclaré monsieur le Ministre, avant de réaffirmer la volonté du Gouvernement d’étendre le réseau national, en vue de faciliter l’accès du plus grand nombre de populations au haut débit. A la clef, un investissement de 115 milliards Fcfa pour le déploiement de 7 000 kilomètres de fibre optique. Ce qui a fortement contribué au développement du numérique en Côte d’Ivoire. Ainsi, en 10 ans, le nombre d’utilisateurs d’Internet est passé de 9% à 34% de la population. Le secteur des services de télécommunications a généré un chiffre d’affaires de 1 139 milliards Fcfa, soit près de 2 milliards de dollars US ; ce qui représente 3% du PIB, 3 000 emplois directs et plus de 10 000 emplois indirects. Rappelant la culture de l’Intelligence Artificielle pour l’Administration publique, le Ministre Souleymane Diarrassouba a signalé la conception de l’application dénommée ‘’Contrôle Citoyen’’ mise à la disposition du consommateur pour dénoncer les pratiques commerciales illicites. Il a également révélé la mise en place par le Ministère du Commerce et de l’Industrie d’une application dédiée au relevé des prix, en vue d’obtenir en temps réel, la variation des prix des produits de grande consommation, avec en ligne de mire la lutte efficace contre l’inflation

titre: Rentrée budgétaire 2024 : le Ministre Souleymane Diarrassouba exhorte ses collaborateurs à une bonne gestion des ressources financières mises à la disposition du Ministère du Commerce et de l’Industri
texte: A l’occasion de la rentrée budgétaire 2024 du Ministère du Commerce et de l’Industrie tenue le lundi 4 mars à l’hôtel Pullman du plateau, Dr Souleymane Diarrassouba a présenté le budget de son département ministériel. Un budget estimé à 40,908 milliards Fcfa, assuré à 84,93% par des ressources du Trésor Public, soit 34,745 milliards Fcfaet et à 15,07% par les contributions des partenaires techniques extérieurs, soit 6,163 milliards Fcfa. A cette occasion, Dr. Souleymane Diarrassouba a invité ses collaborateurs à une exécution budgétaire efficace et efficiente du budget du Ministère avec des taux d’exécution physique et financière proches de 100%. Pour se faire, Il a indiqué que les équipes de la Direction des affaires financières (DAF), de la Direction de la planification, des statistiques et de la prospective (DPSP), de la Direction des affaires juridiques et du contentieux (DAJC) et de la Cellule de passation des marchés se tenaient à la disposition de tous les acteurs, pour une mise en œuvre réussie des réformes et projets majeurs du Ministère. Le Ministre du Commerce et de l’Industrie a également exhorté tous les porteurs de projets à lancer, sans délai, les processus d’appels d’offres. « La Cellule de passation des marchés doit aider à accélérer le processus de réalisation des marchés. Je recommande vivement aux différents acteurs budgétaires de faire en sorte qu’au 1er juillet 2024, tous les marchés franchissent l’étape d’approbation et connaissent un début d’exécution », a-t-il encouragé. Et d’ajouter qu’un rapport d’étape, faisant le point de la mise en œuvre des réformes et des projets, ainsi que leur exécution budgétaire, devra lui parvenir le 07 de chaque mois. Le Ministre Souleymane Diarrassouba a, dans la foulée, égrené la liste des reformes et projets à mettre en œuvre au titre de l’année 2024. Il s’agit entre autres de l’adoption du Code des infrastructures de marchés pour une meilleure gestion et organisation des marchés de gros et de détails ; l’adoption du projet de loi portant régime juridique des zones industrielles et des terrains destinés à l’exercice des activités industrielles et ses textes d’application, en ce qui concerne les reformes, et le renforcement de la lutte contre la vie chère, avec notamment l’acquisition et la distribution de 5 000 bascules et 30 000 balances, la construction de 40 marchés ruraux de proximité, l’organisation de la campagne nationale de répression des fraudes et la mise en œuvre du projet Diversification, Accélération Industrielle, Compétitivité, Emplois (DAICE), pour ce qui est des projets. Il faut rappeler que le budget 2023 du Ministère du Commerce et de l’Industrie a été exécuté à 84,70%.

titre: 13ième Conférence Ministérielle de l’OMC : le Ministre Souleymane Diarrassouba appelle à un système commercial multilatéral inclusif et durabl
texte: La 13ième Conférence Ministérielle s’est ouverte en plénière, le lundi 26 février 2024, à Abu Dhabi aux Emirats Arabes Unis. Chef de la délégation ivoirienne à ce rendez-vous mondial du Commerce, le Ministre du Commerce et de l’Industrie a fait la déclaration du Gouvernement de la Côte d’Ivoire sur le Commerce et le Développement durable. Dr. Souleymane Diarrassouba n’a pas occulté les questions liées à la politique commerciale, à l’industrialisation et aux différentes marges de manœuvre pour le développement industriel. A cet effet, il s’est réjoui des discussions autour des propositions du G90. « Nous encourageons les Membres à les intensifier et à continuer de porter une attention particulière aux préoccupations exprimées par les pays en développement et les PMA, relatives notamment à l’agriculture, à la sécurité alimentaire, au coton, aux subventions à la pêche ou au commerce électronique », a-t-il déclaré. Evoquant la nécessité d’aligner l’approche de durabilité environnementale à l’OMC, le Ministre Souleymane Diarrassouba a réitéré les préoccupations de la délégation ivoirienne face aux mesures prises de façon unilatérale par certains membres et qui impactent négativement la compétitivité et les exportations. A juste titre, il a invité l’ensemble des pays membres à s’inscrire résolument dans le respect des principes qui fondent l’action environnementale multilatérale, et à prendre en compte les dimensions économique et sociale, notamment la juste rémunération des producteurs, qu’il présente comme le maillon faible de la chaîne de valeur. « Nous appelons à privilégier des approches concertées, intégrant notamment le partage d’expériences et le transfert de technologies, en vue d’améliorer l’efficience et la résilience de nos systèmes production et schémas de réponse aux défis environnementaux », a soutenu le chef de la délégation ivoirienne. Dans la foulée, il a souhaité que les membres de l’Organisation Mondiale du Commerce se réfèrent aux fondements de l’organisation basés sur des règles et dirigée par ses Membres. Le Ministre du Commerce et de l’Industrie a plutôt invité à construire une architecture de règles multilatérales plus inclusives, qui prennent en compte les différences de niveaux et de capacités entre membres, qui s’attachent à corriger les déséquilibres, à résoudre les inégalités, et qui favorisent l’intégration réussie des pays dans les chaînes de valeur de l’industrie et du commerce mondiales, tout en impactant positivement l’emploi des jeunes, les revenus et la vie des populations.

titre: Mise à niveau des entreprises industrielles : le Ministère en charge de l’industrie initie un atelier sur le rapport de l’étude relative à l’actualisation PNRMN
texte: Au nom du Ministre du Commerce et de l’Industrie, son Directeur de cabinet adjoint, Olivier Daipo, a procédé à l’ouverture de l’atelier de validation du rapport de l’étude relative à l’actualisation du Programme national de restructuration et de mise à niveau des entreprises industrielles (PNRMN), le jeudi 7 mars 2024. L’événement s’est tenu à Seen Hôtel, au plateau en présence du Directeur général de l’Industrie, Tra Bi Emmanuel et Représentant résident de l’Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel (ONUDI), Tidiane Boye. A cette occasion, le Directeur de cabinet adjoint a rappelé que le Programme national de restructuration et de mise à niveau des entreprises industrielles avait lancé en 2014 avec pour objectif de développer la production industrielle, de promouvoir l’investissement et l’emploi, tout en améliorant la compétitivité des entreprises industrielles au niveau régional et international. « A travers ce programme, le Gouvernement envisageait d’accompagner entre 120 et 150 entreprises industrielles à fort potentiel de croissance, en déployant à large échelle des actions de renforcement de leurs capacités et de leurs compétitivités », a indiqué le représentant du Ministre Souleymane Diarrassouba. Et d’ajouter que le PNRMN a été financé par les entreprises privées, les banques et établissements financiers, les partenaires techniques et financiers et l’Etat à hauteur de 152 milliards Fcfa. Le Directeur de cabinet Olivier Daipo a salué les résultats globalement satisfaisants de ce programme et a justifié le choix d’une nouvelle politique de mise à niveau des entreprises industrielles, au regard du contexte international marqué par des crises à la fois politique, sanitaire, sécuritaire et climatique et l’entrée en vigueur de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Le choix de cette nouvelle approche a été confié au cabinet CASA, avec pour mission de dresser le bilan du PNRMN et de proposer un nouveau programme, en tenant compte du contexte économique et des meilleures pratiques internationales. Le Directeur de cabinet djoint n’a pas manqué de féliciter le Cabinet CASA pour le travail abattu, dont le rapport fera l’objet d’examen au cours du présent atelier. L’atelier a réuni une soixantaine de participants issus des ministères concernés, des partenaires techniques et financiers, des organisations et des entreprises du secteur privé, des structures publiques et parapubliques concernées.

titre: 5ième Conférence mondiale du cacao à Bruxelles : le Ministre Souleymane Diarrassouba invite à intégrer les coûts de la durabilité dans la rémunération des producteurs pour une chaîne de valeur cacaoyè
texte: A l’ouverture des travaux de la 5ième Conférence mondiale du cacao, le lundi 22 avril 2024 à Bruxelles, le Ministre du Commerce et de l’Industrie a appelé à une mutualisation des efforts, pour une chaîne de valeur cacaoyère plus équitable, durable et prospère. L’appel du Dr. Souleymane Diarrassouba est d’autant plus judicieux, que le cacao est important dans l’économie mondiale, eu égard au rôle vital qu’il joue en tant que produit de base de grande valeur. Il est capital pour l’économie des pays producteurs comme moteur de croissance, de création d’emplois pour les jeunes et les femmes. « J’invite les Gouvernements, Organisations de la Société civile, Producteurs et Consommateurs à jouer leur rôle dans la construction d’une chaîne de valeur cacaoyère plus équitable, durable et prospère », a-t-il exhorté. Poursuivant, le Ministre Souleymane Diarrassouba a notifié l’importance de l’or brun pour la Côte d’Ivoire dont il constitue l’un des piliers de son économie. En effet, il représente plus de 30% de ses exportations, près de 15% de son PIB, et emploie environ 7 000 000 de personnes. En 2022/2023, les exportations de cacao de la Côte d’Ivoire ont atteint 2 000 000 de tonnes en équivalent fèves. Le chef de la délégation ivoirienne n’a pas manqué de rappeler le problème de la faible rétribution des producteurs qui demeure et constitue l’une des préoccupations majeures dans cet écosystème. « Sur plus de 120 milliards de dollars de chiffre d’affaires généré par l’industrie mondiale du cacao et du chocolat, les producteurs ne bénéficient que de seulement 6% », a-t-il regretté. Car, en effet, les prix bas payés aux producteurs de fèves constituent un frein à leur capacité à investir dans des pratiques agricoles intensives et durables, telles que l’utilisation de techniques de culture respectueuses de l’environnement, l’adoption de technologies modernes et la formation continue des travailleurs agricoles. « Notre vision doit être celle d’un planteur au centre de la chaîne de valeur, rémunéré à hauteur de ses coûts de production et des services rendus pour la protection de l’environnement. C’est cette valeur sociétale qui doit être le principal déterminant de sa rémunération, et pas seulement les fluctuations erratiques et spéculatives des bourses des matières premières », a insisté le Ministre Souleymane Diarrassouba. Dans la foulée, il est revenu sur la nécessité de la transformation locale du cacao, afin de générer plus de ressources pour les pays producteurs, des revenus conséquents pour les producteurs agricoles, ainsi que des emplois pour les femmes et les jeunes. Aujourd’hui, le broyage des fèves de cacao se fait principalement en Europe avec 35% des broyages mondiaux, en Afrique avec 24%, en Asie et Océanie avec 22% et en Amérique avec 19%. En Côte d’Ivoire, les mesures incitatives ont permis d’accroître la capacité de broyage à plus de plus de 900 mille tonnes de fèves. De nouveaux projets d’unités industrielles de broyage de cacao sont également en cours de construction à Abidjan et à San Pedro.

titre: Coopération Côte d’Ivoire-Egypte : le Ministre Souleymane Diarrassouba préside la cérémonie d’ouverture du Forum économique du Club Afrique développement
texte: Le Forum économique du Club Afrique Développement du Groupe Attijariwafa Bank s’est ouvert, le lundi 29 avril 2024, à l’aéro-cité de Port-Bouët, sous la présidence du Ministre du Commerce et de l’Industrie, en présence du Vice-Ministre du Commerce et de l’Industrie de la République Arabe d’Egypte, autour de la thématique ‘’Un pont d’affaires entre la Côte d’Ivoire et l’Egypte’’. Dr. Souleymane Diarrassouba a saisi cette tribune pour rappeler l’excellence des rapports des relations diplomatique et économique entre la Côte d’Ivoire et l’Egypte. A la clef, des niveaux d’échanges commerciaux estimés à 175,8 milliards Fcfa (287 millions de dollars US) en 2023. La valeur globale des exportations ivoiriennes vers l’Egypte représente 37,8 milliards Fcfa, soit 62 millions de dollars US et les importations de la Côte d’Ivoire d’origine égyptienne sont estimées à 138 milliards de FCFA (225 millions de dollars US), en 2023. Il a également salué la présence d’entreprises égyptiennes en Côte d’Ivoire dans les secteurs de BTP, de l’énergie, du commerce et des services et a encouragé les hommes d’affaires ivoiriens à faire plus de commerce d’affaires en direction de l’Egypte qui offre un marché de plus de 110 millions de consommateurs. « L’organisation de cette mission multisectorielle à Abidjan est, pour nous, un signal fort et l’expression manifeste de votre volonté à faire de la Côte d’Ivoire un partenaire privilégié, à aller plus loin dans le renforcement des relations économiques et commerciales entre nos deux pays », a-t-il salué. Puis, se satisfaisant de la tenue de ce forum initié par le Club Afrique Développement du Groupe Attijariwafa Bank, qui œuvre positivement en faveur du rapprochement entre le monde des entreprises de nos deux pays, le Ministre du Commerce et de l’Industrie a salué les efforts des Ambassadeurs de Côte d’Ivoire et d’Egypte. Monsieur le Ministre a surtout salué Mohamed ElKettani, PDG de Attijari Group, pour cette belle initiative qui renforce l’intégration continentale à travers la Zone de Libre-échange continentale africaine (ZLECAf), et qui ouvre des perspectives pour la création d’entreprises ivoiro-egypto-marocaines, pour l’éclosion de grands champions africains par la promotion du commerce et des investissements. Faut-il le rappeler, le Club Afrique Développement offre une occasion de rencontre et de réflexion dédiée à la communauté des affaires engagée en Afrique, ainsi que des opportunités de rencontre d’affaires à des entrepreneurs et des investisseurs ivoiriens et égyptiens en leur permettant d’établir des partenariats. A juste titre, le Ministre Souleymane Diarrassouba a présenté l’embellie de l’économie ivoirienne et a invité les acteurs du secteur privé égyptien à saisir les opportunités qu’offre la Côte d’Ivoire en y investissant dans tous les secteurs (agro-industrie, agriculture, immobilier, tourisme, service …).

titre: Renforcement des capacités : 80 agents du Ministère en charge du Commerce reçoivent leur certificat en Coopération économique et commerciale sino-ivoirienne et en Rédaction administrative
texte: Au nom du Ministre du Commerce et de l’Industrie, son Directeur de Cabinet, Loesse Jacques Esso, a présidé la cérémonie officielle de remise des certificats de fin formation à 80 agents de son Département ministériel, le mardi 7 mai 2024, au Plateau. Il s’agit de 30 agents qui ont participé à un séminaire sur la Coopération économique et Commerciale sino-ivoirienne, ainsi que de 50 agents en Rédaction administrative. « Je tiens tout d’abord à féliciter chaleureusement les agents qui ont participé à ces formations. Votre engagement et votre détermination à acquérir de nouvelles compétences sont la preuve de votre professionnalisme et de votre volonté de contribuer au développement de notre département ministériel », a déclaré le président de la Commission ministérielle de formation. Puis, de souligner l’intérêt de ces différentes formations pour le Ministère du Commerce et de l’Industrie, eu égard à l’importance de ce Département ministériel dans la mise en œuvre du Plan national de développement (PND 2021-2025), notamment en son pilier I. Renouvelant les remerciements du Ministre Souleymane Diarrassouba aux différents partenaires dont l’Université internationale de Business et d’Economie et le Ministère des Affaires étrangères de la République Populaire de Chine, qui ont rendu possible ces formations, le Directeur de Cabinet a encouragé les agents à mettre en pratique les connaissances acquises lors des formations et à continuer de se former tout au long de leur carrière. Pour sa part, le Directeur des Affaires Juridiques et du Contentieux, Kouaho Nouho Ouattara, Directeur des Ressources Humaines par intérim, s’est félicité de l’opportunité de ces deux formations qui contribuent à renforcer les capacités du personnel du Ministère du Commerce et de l’Industrie. Ce, pour répondre efficacement aux défis de l’opérationnalisation du PND 2021-2025. Quant aux récipiendaires, ils ont renouvelé leur gratitude au Ministre Souleymane Diarrassouba pour les différentes opportunités, ainsi qu’au Directeur de Cabinet et président de la Commission ministérielle de formation pour son implication personnelle dans la mise en œuvre de ce projet en vue du renforcement des capacités des agents. Ils ont fait la promesse de mettre en pratique les différentes formations acquises, dans le cadre de leur mission.

titre: Abu Dhabi/CM13 : le Ministre Souleymane Diarrassouba appelle à exempter la pêche artisanale de toute obligation de l’Accord portant subventions à la pêche
texte: Dans le cadre de la 13ième Conférence Ministérielle de l’Organisation Mondiale du Commerce qui se tient à Abu Dhabi, aux Emirats Arabes Unis, le Ministre du Commerce et de l’Industrie, Chef de la délégation ivoirienne, a fait la déclaration de son Gouvernement sur les subventions à la pêche, le mardi 27 février 2024. A l’occasion, Dr. Souleymane Diarrassouba a appelé, au nom de la Côte d’Ivoire, à resserrer les critères et conditions de flexibilité basés sur la durabilité biologique. « Il est impératif d’exempter la pêche à petite échelle, la pêche artisanale ou de subsistance de toutes obligations de l’Accord, au minimum, dans la limite de la Zone Economique Exclusive (ZEE), car elles ne peuvent être tenues pour responsables de l’épuisement des ressources marines », a-t-il déclaré. Et d’ajouter qu’il s’agit surtout de prémunir les petits pêcheurs déjà vulnérables de tous risques liés à leur subsistance ou leur survie. Poursuivant, le Chef de la délégation ivoirienne a rappelé que la Côte d’Ivoire a déposé son instrument d’acceptation de l’Accord sur les subventions à la pêche, le 23 octobre 2023, dans la suite logique des actions de haute portée entreprises par le Gouvernement en matière de durabilité des océans. C’est pourquoi, le Ministre Souleymane Diarrassouba s’est félicité du nombre croissant de ratifications et a encouragé les Membres à accélérer leurs processus internes, afin que l’Accord entre rapidement en vigueur. Au nom de la délégation qu’il conduit à la CM13, il appelé les Membres à s’engager avec ouverture et souplesse, et à faire des efforts supplémentaires, afin d’aplanir les divergences et de se donner des chances de parvenir à un accord au terme de la Conférence. Parallèlement, au cours d’une session sur l’agriculture le même jour, le Ministre du Commerce et de l’Industrie a réaffirmé les priorités de la Côte d’Ivoire et son positionnement en faveur d’un résultat positif à la 13ième Conférence Ministérielle de l’OMC et a rappelé l’importance de l’agriculture dans la vie socioéconomique de son pays. « J’appelle les Membres à faire preuve de flexibilité afin de s’engager constructivement sur les sujets des subventions agricoles qui faussent le marché agricole mondial, au détriment principalement des petits agriculteurs », a noté le Chef de la délégation, avant d’inviter les Membres de l’OMC à trouver une solution permanente à la question de la sécurité alimentaire.

titre: Modernisation du secteur du Commerce : le Ministre Souleymane Diarrassouba préside l’Assemblée Générale constitutive de la Mutuelle des commerçants de Côte d’Ivoire (MUCCI)
texte: L’Assemblée Générale constitutive de la Mutuelle des commerçants de Côte d’Ivoire (MUCCI) s’est ouverte, le samedi 11 mai 2024, au Palais de la Culture de Treichville, sous la présidence du Ministre du Commerce et de l’Industrie. Cette cérémonie a enregistré la présence des représentants de nombreuses organisations professionnelles de commerçants, des représentants de ministères, de la Directrice Générale de l’Agence ivoirienne de la régulation de la mutualité sociale et de plusieurs partenaires. Dr. Souleymane Diarrassouba a saisi cette tribune pour situer les acteurs du commerce sur la dynamique économique que la Côte d’Ivoire enregistre depuis 2012. Cette performance de l’économie ivoirienne est portée par le secteur industriel (24,5% du PIB) dont le rythme de croissance est estimé à 10% et par le secteur du commerce (15% du PIB) avec un taux de croissance de 9%. « Le secteur du commerce va réaliser une valeur ajoutée de 7 859 milliards de FCFA en 2024 », a-t-il d’emblée situé. La dynamique du secteur du commerce, au cours de ces dernières années est le résultat de la mise en œuvre de plusieurs réformes, la construction d’infrastructures modernes et la prise d’initiatives, en vue d’améliorer la compétitivité de l’économie ivoirienne. En l’occurrence, au titre des infrastructures commerciales, la construction du Parc des expositions d’Abidjan ; la promotion du commerce électronique, le lancement de la nouvelle carte de commerçant Visa ; la poursuite de la modernisation du Marché de gros de Bouaké ; les travaux de construction de 40 marchés de proximité ; la construction en cours du marché central de Bouake et du Gand marché de demi-gros de Yopougon ; les travaux préparatoires pour la construction des marchés de gros d’Abidjan, Daloa et Abengourou avec ses centres de groupage. Pour le Ministre du Commerce et de l’Industrie, la mise en œuvre de la Mutuelle des commerçants de Côte d’Ivoire s’inscrit parfaitement dans la vision du Chef de l’Etat de partager les fruits de la croissance, à travers l’opérationnalisation du programme « Côte d’Ivoire solidaire » qui place la solidarité au cœur de l’action gouvernementale. « Sous la conduite de Son Excellence Monsieur Alassane Ouattara, Président de la République, nous avons entrepris d’accompagner la création d’une Mutuelle des Commerçants pour adresser les questions de santé, de retraite et de couverture des risques incendies et inondations que peuvent rencontrer les commerçants dans l’exercice de leur métier », a soutenu le Ministre Souleymane Diarrassouba. En effet, la mise en place de la MUCCI qui contribuera à adresser des problématiques sociales et sociétales des commerçants est désormais une réalité. Il les invités à s’approprier la MUCCI, ce puissant outil de solidarité et à en assurer la pérennité en respectant toutes les règles de bonne gouvernance, afin que par ses performances elle devienne la plus grande mutuelle de Côte d’Ivoire au cours des prochaines années. Quant à l’Inspecteur général du Ministère de l’Emploi et de la Protection sociale, il a, au nom du Ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Maître Adama Kamara, félicité le Ministre Souleymane Diarrassouba pour cette heureuse initiative dans un domaine aussi insaisissable que celui du commerce qui évolue majoritairement dans l’informel. Ce qui, selon lui, constitue, une première en Afrique de l’Ouest. Notons que l’Assemblée Générale constitutive s’est achevée par l’élection de la liste conduite par Farikou Soumahoro à la tête de la MUCCI, avec 98,24% des suffrages exprimés. Dans la foulée, celui-ci a été élu président du Conseil d’administration de la Mutuelle des commerçants de Côte d’Ivoire avec 100% des voix. L’expert-comptable Drissa Koné, est coordonnateur du comité de contrôle de la MUCCI. Le nombre de commerçants est estimé à au moins 3 millions de personnes en Côte d’Ivoire.

titre: Promotion des PME : Remise officielle au Ministre Souleymane Diarrassouba du Document portant Stratégie nationale de développement de l’entrepreneuriat et de l’innovation (SNDEI) 2024-2028
texte: Le Ministre du Commerce et de l’Industrie a officiellement réceptionné le Document projet de la Stratégie nationale de développement de l’entrepreneuriat et de l’innovation (SNDEI) 2024-2028. La cérémonie officielle de remise s’est tenue, le mardi 30 avril 2024 au Plateau. Face aux acteurs qui ont contribué à l’élaboration de cette stratégie, dont la Direction générale de la promotion des PME et de l’Artisanat (DGPPMEA), la Banque Mondiale et le cabinet ESpartners, Dr. Souleymane Diarrassouba a soutenu que cette stratégie a pour objet d’inscrire dans l’ADN de ses concitoyens l’envie d’entreprendre et de développer son génie créateur. « L’Etat a un rôle à jouer, notamment celui de tracer le cadre pour favoriser et accompagner l’éclosion des talents. En ce sens, cette stratégie dont l’essence vient de nous être présentée par le cabinet ESpartners est plus que pertinente et devrait mobiliser tous les acteurs de l’écosystème tant privé que public ainsi que les partenaires au développement », a-t-il noté. Puis, de rappeler l’importante contribution au développement de l’entrepreneuriat et de l’innovation à travers ce dispositif qui met l’accent sur la promotion de l’entrepreneuriat national, l’orientation des investissements vers des secteurs à valeur ajoutée élevée et à forte employabilité et l’accompagnement des activités économiques à fort contenu technologique et préservant l’environnement. Cette stratégie envisage, en effet, de relever cinq défis majeurs portant sur le système éducatif ; les infrastructures de soutien à l’entrepreneuriat et à l’innovation ; le cadre institutionnel d’appui à l’entrepreneuriat et à l’innovation ; le financement des entrepreneurs et les compétences pour innover. Ce, à travers seize programmes structurants, dont la mise en œuvre nécessite un budget estimé à 61,64 milliards Fcfa. Le Ministre du Commerce et de l’Industrie a également rappelé toutes les réformes entreprises par l’Etat dans le sens de la promotion des PME. Il s’agit entre autres de la loi du 14 mars 2014, portant Orientation de la Politique Nationale de Promotion des PME, de la startup act, du FONSTI, de la création du GUDE avec ses filiales CI PME et SGPME, PEPITE. Cet écosystème permet aux différents acteurs de trouver des solutions concrètes de l’accompagnement jusqu’au financement des projets et d’entrevoir les perspectives de création de 8 millions d’emplois, de doublement du revenu par tête d’habitant à 3 500 dollars US à l’horizon 2030. Faut-il le rappeler, la cérémonie de remise du Document projet de la Stratégie nationale de développement de l’entrepreneuriat et de l’innovation fait suite à l’atelier de validation dudit document tenu du 7 au 9 décembre 2023 à Grand-Bassam.

titre: Yamoussoukro/Commerce : la Direction régionale du Commerce met fin à la vente subordonnée de produits de grande consommation dans les supermarchés
texte: La Direction régionale du Commerce et de l’Industrie de Yamoussoukro a pris en flagrant délit de vente subordonnée de produits de grande consommation le supermarché ‘’King Cash’’ le vendredi 22 mars 2024. En fin d’après-midi, ce jour-là, un appel anonyme d’une cliente informe la direction régionale de ce que ce supermarché conditionne l’achat du sucre par l’achat préalable d’autres produits. Immédiatement, une équipe y est dépêchée. Elle est conduite par le directeur départemental, Ouattara Brahima, dont l’enquête terrain a permis de confirmer la plainte du client. « Ce magasin exigeait l’achat d’un autre produit avant de servir le sucre. Nous avons eu les preuves matérielles. Le reçu à l’appui et la caissière même a confirmé la pratique. Sur le champ, nous avons adressé une convocation au gérant du supermarché. Il s’est présenté à nos bureaux le lundi 25 mars 2024. Entendu sur Procès-verbal (PV), nous lui avons notifié l’amende. La sanction immédiate, c’était la saisie-conservation des marchandises de ce supermarché mais le faisant, nous allons priver les populations d’accès à ce supermarché. Nous lui avons infligé une amende qu’il doit payer », a expliqué le Directeur régional du Commerce et de l’Industrie, Kouadio Kouakou Ferdinand. Pour lui, en effet, il est hors de question de tolérer ce genre de pratiques commerciales qui malheureusement surviennent en ce mois de jeûne musulman et de carême catholique qui constitue une période de grande consommation. Rappelant la mission de protection des consommateurs, le Directeur régional a noté que des équipes sillonneront tous les supermarchés, afin de s’assurer qu’ils respectent la réglementation du commerce. Puis d’inviter les consommateurs à dénoncer les pratiques illégales. « Cela nous permet d’agir efficacement. Chaque fois qu’ils constatent des comportements qui ne respectent pas la réglementation, ils doivent les dénoncer. Il y a le numéro vert du Ministère du Commerce et de l’Industrie : 1343 qui reçoit les plaintes qui nous sont transmises par la suite pour traitement. Il y a également l’application Contrôle Citoyen à télécharger pour dénoncer les commerçants indélicats. Parfois, quand nous recevons les plaintes enregistrées par le numéro vert et qu’on appelle les clients concernés, ils ne décrochent plus. Mais nous disons qu’ils peuvent venir directement à la direction régionale sise au 100 Logements garçons près de la préfecture de police », a-t-il invité. Les enquêtes menées dans les 14 Supermarchés et supérettes de Yamoussoukro le lundi 25 mars 2024 ont permis de constater que l’ensemble de ces surfaces se conforment à la réglementation en vigueur. « Nous restons vigilants. Ils ont certainement eu l’information que l’un des leurs est en difficulté. Nous allons multiplier les contrôles constamment pour faire respecter le droit des consommateurs », s’est-il engagé.
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